Chronique sur Europe-1, le 29 mai 2020

 

«  Un roman sur l'amour de la littérature : Découvrez La Belle Hélène de Pascale Roze.


La Belle Hélène de Pascale Roze est la dernière des cinq œuvres en lice pour la première édition du Prix Littéraire Europe 1-GMF qui aura lieu le 24 juin prochain. Notre journaliste littéraire Nicolas Carreau vous explique pourquoi il faut le lire. »

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Chronique sur France-Inter, le 27 février 2020

 

« La littérature adore la douceur. Mais qu'est-ce qu'un livre doux ? Élément de réponse avec La Belle Hélène ou l'exemple d'un livre caressant à savourer sans modération… »

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Paru dans Le Figaro, le 26 février 2020

 

« Professeur improvisé, l’auteur mêle le récit de ses cours avec ses souvenirs. Un livre plein de grâce.


On le dit parfois : un roman, c’est une musique. La Belle Hélène, le nouveau titre de Pascale Roze, nous entraîne et nous saisit avec son petit air charmant, léger et, par moments, nostalgique. Une nostalgie où n’aurait pas sa place la tristesse. 

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Paru dans Le Monde des livres, le 23 janvier 2020

 

« Lire et vivre

Tout en légèreté, avec humour et vivacité, Pascale Roze s'interroge, dans La Belle Hélène, sur les liens entre la littérature et la vie. Les livres nous apprennent-ils à vivre, comme le pensent bien des grands lecteurs ? Ou bien sont-ils une échappatoire qui détourne de la réalité ? 

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Paru dans L'Alsace, le 19 janvier 2020

 

« Lire pour le dire

C’est en travaillant sur des livres avec ses étudiants de Sciences-po qu’Hélène raconte le mieux sa propre vie. Une existence écrite en filigrane dans les différents ouvrages qu’elle propose à des étudiants qu’elle adore et qui lui rendent généreusement cette affection. Buzzati, Tchekhov, Reza, toutes les expériences de ces auteurs évoqués dans ses ateliers de lecture la ramènent à son histoire personnelle. Il ne se passe pas un cours sans que dans les ouvrages étudiés, il ne soit fait écho à ses deuils, ses joies, ses rencontres, tout ce qui constitue son parcours.

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Paru dans L'Obs, le 16 janvier 2020

 

« Pascale Roze retrouve sa voix

En 1996, le prix Goncourt fut, à la surprise générale, décerné au « Chasseur Zéro », de Pascale Roze. Les jurés prenaient un risque en couronnant le premier roman d’une jeune inconnue. Leur choix fut d’ailleurs critiqué, l’influence de Marguerite Duras y était si criante ! Mais on ne devient pas en un jour ce qu’on est. Non seulement Pascale Roze a survécu à cette consécration imprévue mais elle s’exprime à présent dans sa tessiture propre. D’une voix douce mais prenante. Pourquoi touche-t-elle autant, cette Hélène, prof de littérature à Sciences-Po (l’auteure a elle-même animé de nombreux ateliers d’écriture en banlieue), qui s’imagine avoir fermé boutique depuis la mort de son mari mais renoue malgré soi avec l’amour ?

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Paru dans Le Nouveau Magazine littéraire, en janvier 2020

 

« Attention ! ceci n'est pas une narration, c'est un tourbillon. Au centre, Hélène, qui anime un atelier d'écriture à Sciences po, se souvient de ses grands amours et de ses années hippies, s'intéresse à une étudiante sensible, rencontre un juge séduisant, évoque son frère Stéphane, agriculteur, et la mort de leur mère, analyse des textes de Brautigan, Tchekhov, Musil, et se rappelle son premier roman à elle… Le chaos ? Non, la vie, qui, contrairement aux romans fabriqués, ne peut se circonscrire en trois thèmes. Grâce à une écriture à la fois elliptique, digressive et parfaitement maîtrisée, Pascale Roze nous convie dans l'existence crédible de son Hélène fictive. Avec elle, et par le souvenir d'une main baladeuse, on mesure l'écart entre les mœurs de sa jeunesse et celles d'aujourd'hui. On se souvient que l'analyse en profondeur des textes – et des êtres ? – nous rend parfois aveugles aux trésors sertis dans leur surface. On redécouvre l'élan et les emportements de la jeunesse à travers la figure d’une littérature fugueuse.

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Paru dans Livres Hebdo, le 29 novembre 2019

 

« Rejaillir le feu : Pascale Roze s'intéresse au destin d'une femme qui ose un dernier amour

Hélène Bourguignon est une « senior » de 64 ans. Elle est mère d’une fille, Lou, grand-mère d’une petite Juliette. Et veuve deux fois. De Xavier, son premier mari, un soixante-huitard qu’elle a quitté puis divorcé en 1989. Et Laurent, un écrivain dont elle a été d’abord le « nègre », et qu’elle a aimé jusqu’à la fin. Depuis, elle n’a pas « refait sa vie », selon l’expression consacrée. Sans doute parce que, se rend-elle compte tout à coup un jour d’introspection, au moment où elle vient de rencontrer un autre homme qui lui plaît, elle n’a jamais fait confiance à personne. Celui-là, Jean, un juge à la retraite en Corse, rencontré dans un dîner chez une de ses amies, parviendra-t-il à vaincre les barrières qu’elle s’est mises elle-même, à la persuader qu’il n’est pas trop tard, qu’elle a le droit d’être heureuse à nouveau, même quelques années ? 
À faire « rejaillir le feu » de la passion en elle.

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